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jeudi 26 mai 2011

La vie de château, c'est fini, snif !


Hé oui, les meilleures choses ont une fin.




L'exil temporaire mais consenti des artistes du Hang'art, artistiquement installés au château d'Asnières-sur-Seine
le temps d'un week-end, à l'occasion de la 3e édition municipale des Portes Ouvertes des ateliers d'artistes s'est achevé dans la joie et la bonne humeur. De nombreux visiteurs ont nonchalamment déambulé entre 11h et 20h et entre portiques et pieds photos, mannequins et chevalets, sculptures et toiles. Que de mélanges et que de monde, quelle curiosité et que d'échanges, tant de discussions et de conversations, et toutes ces découvertes : beaucoup d'art et plein d'vie. Joyeux moments et bons souvenirs.

Un exil temporaire, une fugitive émigration, expérience
de délocalisation volontaire due au péril qui plane de façon inquiétante sur les occupants du site de la petite ruche asniéroise, tel le rapace cruel au-dessus de l'innocente et frêle proie (oui, certes, c'est un peu lyrique, mais de temps en temps pourquoi pas ?)
Peut-être ne savez-vous pas quel est ce péril qui siffle sur nos têtes ?
Si oui, sans doute voulez-vous savoir ce qu'il en est ?
C'est un peu comme un mauvais feuilleton. Cela vous changera de celui à caractère politico-sexo-médiatique dont le héros est un autre exilé temporaire, mais c'est une autre histoire.
Donc, la nôtre d'histoire, elle vous intéresse ?
Pour la lire, cliquez-là...
Lien
... (ellipse : pour le temps de lecture)

Ç
a y est, z'avez tout lu ?
Voyez la cata ? Z'imaginez l'angoisse ? Z'avez-une idée du stress ? Vous voulez nous aider ? Soutenez-nous !

Rejoignez donc le Marathon des signatures en ligne, qui court et court et court encore ici et
ou encore là, sur la page de la face du bouc, heu, de la page Facebook du Hang'art.




La dernière, c'est pas Michel et Louise, mais la vierge rouge, camarades !

Ce Marathon des signatures est ouvert à tous, point de sélection à la Roland Garros, et en plus, il est pas foulant car il peut se faire à petites foulées, et encore en plus c'est gratuit, et encore encore en plus ça nous met du baume à nos p'tits coeurs meurtris. On n'occupe pas un lieu pendant des années pour y vivre et/ou y travailler sans s'y attacher.

Donc, pour revenir à nos moutons, on veut vous dire merci :


Merci,
aux visiteurs du jour, petits et grands, jeunes et moins jeunes.

Merci,
à Ozgen Design Studio, éminent membre du Hang'art, pour avoir artistiquement et fort esthétiquement scénographié cet exil aristo-démocratico-artistico-asniéro-asniérois.

Merci,
au théâtre du Voyageur, installé sur le quai B de la gare d'Asnières-sur-Seine, pour avoir accueilli dans ses murs une projection exceptionnelle des films de L'Abominable, éminente association de cinéastes membre du Hang'art. On en profite pour vous signaler l'heureuse programmation dudit théâtre, une saison Shakespeare : to "B" or not to "B" ? Bien sûr qu'il faut y aller, to "B", comme le quai de la même lettre. Oui, c'est un jeu de mots extrêmement tiré par les cheveux, mais c'est comme le lyrisme, de temps en temps ça fait pas d'mal.

Merci,
à Monsieur le maire et à toute l'équipe du service de la culture d'Asnières-sur-Seine pour l'aimable hospitalité et l'efficace soutien logistique.



Pascal Ken a concocté une carte de remerciements Merci 2 votre visite (voir plus haut).

Sylvain Modet, lui, le photographe qui vous fait voir la vie en rose (voir, justement, les deux photos ci-dessus) est sporadiquement sorti de son studio-cave (ou de sa cave-studio, c'est selon), pour portraiturer ses petits camarades : Laurent Besson, Michèle Forest, Aziliz Juhel Kalil, Patrice Kalil, Pascal Ken et Maxime, Patrick Loughran, Serge Maestracci, Isabelle Massenet, Philippe Mignon, Béatrice Nodé-Langlois.

Le Hang'art
, jamais en manque d'imagination, ni d'animation virtuelle épatante, vous propose, après son Marathon des signatures, son jeu des légendes : KIHEKI ?
Amis lecteurs et néanmoins internautes, saurez-vous mettre le bon nom sous la photo ?





















Adieu donc la vie de château,
Adieu séance de cinéma au théâtre
.

Le Hang'art vogue vers de nouvelles aventures.

Z'avez raté la projodelabo ? (la projection des films de L'Abominable en français correc)
No panique, ce soir, vendredi 27 mai allez au 104 avenue Jean Lolive à Pantin,
juste après l'turbin, vous verrez d'autres images d'un cinéma différent.
C'est à 18h30 et 20h30
dans le cadre de l'Écran Libre #9, le métro, c'est Eglise de Pantin.
Et, en plus de tout ça,

entre les deux séances : rencontre avec les réalisateurs et pot amical.

Tarif unique : 4 euros




Cinéastes de L'Abominable au boulot



Le mois prochain, c'est Serge Maesrtracci qui bouge






Plus proche et plus près, déclics sans claques :


Beaucoup plus loin, tout là-bas là-bas dans le grand Nord, c'est le pays Sami (lapon) avec qui travaille notre amie Tove Voss qui nous a envoyé cette photo hivernale.


A bientôt !