Oui, Sylvain Modet y était, fort tôt : 5H45 pour assister au lever de l'astre du jour à 5H58.
C'était presque comme à la vraie campagne : y avait même de vrais oiseaux dans le ciel.
Couleur terre battue pour un avant-goût de Roland-Garros et puis des sapins, des tomates, des laitues, des tournesols, etc.
Biquettes et charolaises.
Un arbre pur produit OGM...
On pensait, naïvement, qu'il n'y aurait personne.
Grossière erreur.
Des gardiens à gilet fluo postés tous les 10 m, de l'Etoile au Rond-Point, le long des barrières Vauban.
Quelques, rares, touristes : japonais, américains, provinciaux. Beaucoup de têtes blanches et grises, quelques familles.
Des chasseurs d'image équipés de boîtiers sophistiqués aux téléobjectifs conséquents ou d'un simple téléphone portable.
De petits groupes de gardiens de la paix debout près de leurs camionnettes blanches et bleues.
Quelques créatures au look étrange et à la démarche hésitante.
Et deux gros attroupements, épuisés mais bruyants et criards, rue Pierre Charron et rue Marbeuf, à la sortie des boîtes de nuit.
Mais aucun raton-laveur : dommage.
mercredi 26 mai 2010
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